Café Waterford: Christmas House

lundi 24 décembre 2007

Christmas House

Chez les voisins

Chez nous

3 commentaires:

Anonyme a dit…: J'adore ta déco "chats" !! :p

Celle des voisins ressemble un peu à ce qui se développe en France... mode made in USA.; 24 décembre 2007 à 15:54:00 UTC
Sandrine a dit…: Absolument mode made in USA. Même ici ce n'est pas du tout traditionnel mais une mode venue récemment d'outre-atlantique qui vise avant tout à montrer l'opulence et sa possibilité de dépenser sans compter, via sa facture d'éléctricité, tout en se faisant voir de loin. Pure attention-seeking. Sooo american. C'est la tradition du Noêl Coca-Cola.

Je reconnais que c'est joli lorsque c'est fait avec goût, et le moindre bled paumé ici est superbement décoré. Cela donne au mois de décembre une atmosphère féérique vraiment particulière. Quant à l'empreinte carbonique.... no comment.

J'ai pris quelques photos de la maison d'une famille qui en fait un peu trop, en Dublin 8. Je vous montrerai en Janvier ce que ça donne en version kitsch !; 26 décembre 2007 à 17:23:00 UTC
Anonyme a dit…: On m'a montré il y a quelques jours des photos semblables dans les environs de Limerick.
L'irish a trouvé que les maisons et les villes n'étaient pas beaucoup décorés en France. Et pour cause, à côté de l'Irlande c'est négligeable !
Effet pervers du "trop de pognon" de certains. Dommage cette mentalité du "m'as-tu-vu".; 1 janvier 2008 à 17:27:00 UTC

Enregistrer un commentaire

Liberté pour l'Histoire

Liberté pour l'histoire Emus par les interventions politiques de plus en plus fréquentes dans l'appréciation des événements du passé et par les procédures judiciaires touchant des historiens et des penseurs, nous tenons à rappeler les principes suivants : L'histoire n'est pas une religion. L'historien n'accepte aucun dogme, ne respecte aucun interdit, ne connaît pas de tabous. Il peut être dérangeant. L'histoire n'est pas la morale. L'historien n'a pas pour rôle d'exalter ou de condamner, il explique. L'histoire n'est pas l’esclave de l'actualité. L'historien ne plaque pas sur le passé des schémas idéologiques contemporains et n'introduit pas dans les événements d'autrefois la sensibilité d'aujourd'hui. L'histoire n'est pas la mémoire. L'historien, dans une démarche scientifique, recueille les souvenirs des hommes, les compare entre eux, les confronte aux documents, aux objets, aux traces, et établit les faits. L'histoire tient compte de la mémoire, elle ne s'y réduit pas. L'histoire n'est pas un objet juridique. Dans un Etat libre, il n'appartient ni au Parlement ni à l'autorité judiciaire de définir la vérité historique. La politique de l'Etat, même animée des meilleures intentions, n'est pas la politique de l'histoire. C'est en violation de ces principes que certains articles de lois successives – notamment lois du 13 juillet 1990, du 29 janvier 2001, du 21 mai 2001, du 23 février 2005 – ont restreint la liberté de l'historien, lui ont dit, sous peine de sanctions, ce qu'il doit chercher et ce qu'il doit trouver, lui ont prescrit des méthodes et posé des limites. Nous demandons l'abrogation de ces articles indignes d'un régime démocratique. « Liberté pour l’histoire » : c’est le titre d’un appel aux politiques lancé par 19 historiens le 12 décembre dernier. C’est aussi le nom d’une association dont René Rémond est le président. Si un vent d’inquiétude souffle chez les historiens, c’est que la multiplication depuis quinze ans des lois mémorielles semble aujourd’hui porter ses fruits amers : procès ou menaces de procès contre les chercheurs qui font simplement leur travail. Signataire de l’appel, Françoise Chandernagor, juriste par métier et historienne par passion, instruit l’affaire dans le numéro 306 de L’Histoire en vente à partir du 26 janvier. L’appel « Liberté pour l’histoire » Texte de l’appel Liste des 19 premiers signataires Liste des signataires à la date du 8 mai 2006 Communiqué de presse de l'association Liberté pour l'histoire du 4 février 2006 Textes de lois en question : Loi « Gayssot » du 13 juillet 1990 Loi relative à la reconnaissance du génocide arménien du 29 janvier 2001 Loi « Taubira » du 21 mai 2001 Loi « Mekachera » du 23 février 2005 Sur l’historien, la loi et la mémoire, L’Histoire a déjà publié« Le Génocide, le juge et l’historien », par Madeleine Rebérioux, n°138.« Les Arméniens, le juge et l’historien », par Madeleine Rebérioux, n°192.« Le Métier d’historien », par François Bédarida, n°206.« A quoi servent les historiens ? », par Jean-Noël Jeanneney, n°222.« Mémoires souffrantes de la guerre d’Algérie », par Claude Liauzu, n°260.« Non à la loi scélérate ! », entretien avec Claude Liauzu, n°302. Source: http://www.histoire.presse.fr/ Copyright © 1999-2006 L'HISTOIRE. Tous droits réservés L'Histoire - Webmestre

Café Waterford

lundi 24 décembre 2007

Christmas House

3 commentaires:

Bien souvent, au cours de l'histoire, les routes de l'Irlande et de la France se sont croisées.

If travel is searching, and home what's found....

Cafe Politique

Conversations de comptoir

Reflexions

Archives

Cafe Socialiste

Cafe Europe

Cafe Vert

Cafe Citoyen

Citoyens blogeurs

Cafe Equitable for a Fair World

Cafe Histoire & Heritage

L'Irlande a voir.....a lire... a ecouter.... a gouter...

Sweet Ireland of Mine - Mon Irlande :

Chacun son Irlande - One Ireland each !

Cafe Gourmand

Paroles d'Expats

Blogs à part

Lecture ... reading

Cafe Litteraire

Lectures favorites d'une Bookaddict

Le Coin Journaux du Newsaddict

Coin TV & Radio

Cat Confidential

Nos amis les "bêtes" - Animals welcome

Diaspora et Nostalgie

Ici et la, here and there

Open Eyes, Horizons, Contributions

CONTRIBUTIONS: cafe _ waterford @ yahoo . fr

Danielle: l'Afrique (contributions)

Afrique et Developpement - Africa Development

FLUX

The Irish Times' Top Stories

Liberté pour l'Histoire