Café Waterford: Living Irish History: "We're a better country now"

dimanche 25 février 2007

Living Irish History: "We're a better country now"

Sooooore heads in the moooorniing... deservedly so... It's a beautiful day, sun is shinning, Ireland has welcomed the English at Croke Park and applaused their anthem.

They're a better country now.

Prochain rendez-vous avec l'Histoire: 7/03/07, election, Stormont Assembly.

What a wonderful world - Shane MacGowan & Nick Cave

Voir:

Living Irish History: Ireland v England at Croke Park

Northern Ireland, peace at last ?
Northern Ireland, peace, possibly, maybe...

2 commentaires:

Anonyme a dit…: La chanson m'a fait rigolé!!!
Bien contente que l'Irlande aie gagné!! C'est historique !!! Congratulations.
Pour le soleil, envoie en moi un peu car ici pluie et vent depuis quelques jours...; 26 février 2007 à 11:39:00 UTC
Sandrine a dit…: I see trees of green........ red roses too
I see em bloom..... for me and for you
And I think to myself.... what a wonderful world.

I see friends shaking hands.....sayin.. how do you do
Theyre really sayin......i love you.

Plutot d'actualite en effet, cote lyrics, cote singing mood...

Bon j'espere que t'as eu le soleil que je t'ai envoye cet aprem... parce que la c'est rape, i repleut. Le temps radieux de l'Histoire heureuse qui s'ecrit est passe, place au quotidien gris et anonyme qui mouille mais ne restera pas.

Pouh la la chui fatiguee moi... c'etait un rude weekend :p.; 26 février 2007 à 20:55:00 UTC

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Liberté pour l'Histoire

Liberté pour l'histoire Emus par les interventions politiques de plus en plus fréquentes dans l'appréciation des événements du passé et par les procédures judiciaires touchant des historiens et des penseurs, nous tenons à rappeler les principes suivants : L'histoire n'est pas une religion. L'historien n'accepte aucun dogme, ne respecte aucun interdit, ne connaît pas de tabous. Il peut être dérangeant. L'histoire n'est pas la morale. L'historien n'a pas pour rôle d'exalter ou de condamner, il explique. L'histoire n'est pas l’esclave de l'actualité. L'historien ne plaque pas sur le passé des schémas idéologiques contemporains et n'introduit pas dans les événements d'autrefois la sensibilité d'aujourd'hui. L'histoire n'est pas la mémoire. L'historien, dans une démarche scientifique, recueille les souvenirs des hommes, les compare entre eux, les confronte aux documents, aux objets, aux traces, et établit les faits. L'histoire tient compte de la mémoire, elle ne s'y réduit pas. L'histoire n'est pas un objet juridique. Dans un Etat libre, il n'appartient ni au Parlement ni à l'autorité judiciaire de définir la vérité historique. La politique de l'Etat, même animée des meilleures intentions, n'est pas la politique de l'histoire. C'est en violation de ces principes que certains articles de lois successives – notamment lois du 13 juillet 1990, du 29 janvier 2001, du 21 mai 2001, du 23 février 2005 – ont restreint la liberté de l'historien, lui ont dit, sous peine de sanctions, ce qu'il doit chercher et ce qu'il doit trouver, lui ont prescrit des méthodes et posé des limites. Nous demandons l'abrogation de ces articles indignes d'un régime démocratique. « Liberté pour l’histoire » : c’est le titre d’un appel aux politiques lancé par 19 historiens le 12 décembre dernier. C’est aussi le nom d’une association dont René Rémond est le président. Si un vent d’inquiétude souffle chez les historiens, c’est que la multiplication depuis quinze ans des lois mémorielles semble aujourd’hui porter ses fruits amers : procès ou menaces de procès contre les chercheurs qui font simplement leur travail. Signataire de l’appel, Françoise Chandernagor, juriste par métier et historienne par passion, instruit l’affaire dans le numéro 306 de L’Histoire en vente à partir du 26 janvier. L’appel « Liberté pour l’histoire » Texte de l’appel Liste des 19 premiers signataires Liste des signataires à la date du 8 mai 2006 Communiqué de presse de l'association Liberté pour l'histoire du 4 février 2006 Textes de lois en question : Loi « Gayssot » du 13 juillet 1990 Loi relative à la reconnaissance du génocide arménien du 29 janvier 2001 Loi « Taubira » du 21 mai 2001 Loi « Mekachera » du 23 février 2005 Sur l’historien, la loi et la mémoire, L’Histoire a déjà publié« Le Génocide, le juge et l’historien », par Madeleine Rebérioux, n°138.« Les Arméniens, le juge et l’historien », par Madeleine Rebérioux, n°192.« Le Métier d’historien », par François Bédarida, n°206.« A quoi servent les historiens ? », par Jean-Noël Jeanneney, n°222.« Mémoires souffrantes de la guerre d’Algérie », par Claude Liauzu, n°260.« Non à la loi scélérate ! », entretien avec Claude Liauzu, n°302. Source: http://www.histoire.presse.fr/ Copyright © 1999-2006 L'HISTOIRE. Tous droits réservés L'Histoire - Webmestre

Café Waterford

dimanche 25 février 2007

Living Irish History: "We're a better country now"

2 commentaires:

Bien souvent, au cours de l'histoire, les routes de l'Irlande et de la France se sont croisées.

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